La presse en parle
Au Théâtre dans les Alpages, les acteurs brûlent les planches au pied d'un glacier
Le Dauphiné Libéré
Murailles touchant le ciel, le glacier de Bionnassay et les montagnes qui l'entourent veillent sur le village, imposants et splendides. Tels des invités d'honneur, ils contemplent le festival du "Théâtre dans les Alpages".
Louise de Maisonneuve
Les fiers cavaliers afghans au théâtre Montjoie
Le Dauphiné Libéré
Les cavaliers. Le spectacle fait salle comble dans le théâtre Montjoie.
Sur scène, un tapis d’Orient, un escabeau et sur l’escabeau un tabouret.
Un tabouret ?
En introduction, le Chant des partisans. Que vient-il faire là ? Olivier de Lisle, initiateur du festival Théâtre dans les alpages en donne la raison : c’est un hommage à l’écrivain aventurier Joseph Kessel, parolier, avec Maurice Druon, du chant des partisans et auteur du roman Les cavaliers.
Odile PIERQUIN
Saint-Gervais : les combats de Simone Veil au pied de La Bionnassay
Le Dauphiné Libéré
Pour la deuxième soirée du festival Théâtre dans les alpages, mercredi 27 juillet, son créateur Olivier de Lisle a présenté la pièce Simone Veil, les combats d’une effrontée , mise en scène par Pauline Susini, choisie en raison de son coup de cœur pour le sujet.
Les deux actrices l’ont aussi beaucoup intéressé : Cristiana Reali (Simone Veil) et Pauline Susini (Camille Vallet), « deux grandes dames ».
Odile PIERQUIN
Jacques Weber dans “L’arlequinade”
Le Dauphiné Libéré
“L’Arlequinade”, c’est la traduction en français du mot anglais “patchwork”, que Jacques Weber, acteur de 72 ans, depuis longtemps au sommet de l’art théâtral, emploie pour définir son spectacle “Éclats de vie”. Olivier de Lisle, l’initiateur du festival, préfère le mot Arlequinade, pour présenter ce spectacle joué par l’acteur, seul sur scène, avec ses mots, sa voix, ses mains, et, par intermittence,
un éclat de rire, à la fois dubitatif et indulgent.
Odile PIERQUIN
Festival "Théâtre dans les Alpages" de Saint-Gervais: quel bilan pour cette première édition ?
Le Dauphiné Libéré
C’était le nouveau rendez-vous culturel de l’été. La première édition de Théâtre dans les alpages vient de s’achever de la plus belle des manières, avec un public au rendez-vous et des acteurs excellents. Vivement la deuxième !
Monique MARCHAND-ARVIER
Un festival au pied du mont Blanc
Point de vue
Une prairie en pente douce et une scène en bas, le plus haut massif d’Europe en guise de décor et beaucoup d’énergie, il n’en fallait pas plus à Olivier de Lisle pour imaginer le festival Théâtre dans les alpages. Pour sa deuxième édition, il a fait le plein d’amateurs venus notamment applaudir Cristiana Reali et William Mesguich.
Marie-Eudes Lauriot Prévost
La révolution de Galilée sous le ciel de Bionnassay
Le Dauphiné Libéré
La longue silhouette de Jean Alibert, tout de noir vêtu, se découpe sur le fond
des pentes abruptes et sauvages du Vorasset, et sur le glacier de Bionnassay,
en contre-jour. Il donne le ton de son spectacle, il se met en interaction avec
le public, l’interroge, le complimente. Il aurait fait un excellent enseignant. Il
y a une grande proximité entre l’acteur et le professeur : ils ont un public qu’il faut captiver.
Odile PIERQUIN
La solitude de la taïga dans les alpages de Bionnassay
Le Dauphiné Libéré
Pour la deuxième édition du festival Théâtre dans les alpages, la scène est
revenue entre pente herbue et vieux chalets de pierre et de bois, dans les hauts du village de Bionnassay, comme en juillet 2021. Les ombres des creux et les lumières des pleins du Vorasset, la luminosité des derniers rayons sur l’Aiguille de Bionnassay font le décor.
Mardi 26 juillet, un seul acteur, William Mesguich, montait sur scène, pour le premier des quatre spectacles programmés, Dans les forêts de Sibérie.
Odile PIERQUIN
"Mademoiselle Molière”, “École des femmes ou École des épouses ?”
Le Dauphiné Libéré
Pour la troisième soirée, le cadre a changé. La pluie est au rendez-vous, la pièce “Mademoiselle Molière”, de Gérard Savoisien, est jouée au Théâtre Montjoie. Et, pour une pièce qui met en scène l’intimité d’un couple, dans l’ultime phase dramatique de leur relation, un écrin fermé et obscur convient bien.
Odile PIERQUIN
“La véritable histoire du cheval de Troie”
Le Dauphiné Libéré
Les notes tristes et dramatiques de l’accordéon du musicien et compositeur Claude Gomez, les danses, les claquettes, les chants, en langue romani, du comédien et chanteur Guillaume Edé, donnent à l’histoire des Troyens et à leur errance, une dimension universelle. C’est l’histoire des peuples partis de chez eux pour des voyages sans fin.